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29/05/25

đŸ”¶ Gloria (Île de France), diagnostiquĂ©e bien avant 50 ans, elle brise les idĂ©es reçues sur le cancer du sein et redonne une voix Ă  celles qu’on oublie trop souvent.

✍Je m'appelle Gloria, et aujourd'hui, je vais vous parler de mes seins.

Pendant longtemps, on m’a dit qu’avant 50 ans, je n’étais pas une personne Ă  risque pour le cancer du sein. Pourtant, mon histoire prouve le contraire.

Tout a commencĂ© trĂšs tĂŽt. À 14 ans, mes seins ne ressemblaient pas Ă  ceux des autres filles. Ils Ă©taient asymĂ©triques : l’un plus haut, l’autre plus bas. J’ai vĂ©cu avec cette diffĂ©rence jusqu’à mes 17 ans, lorsqu’un jour, par hasard, j’ai senti une sensation de duretĂ© dans mon sein gauche. Une Ă©chographie rĂ©vĂšle alors deux tumeurs. Je subis une intervention chirurgicale, qui se passe bien.

Peu aprĂšs, je pars vivre en Tunisie. Mais malgrĂ© tout, je ne me sens pas mieux. Je perds du poids sans raison, j’ai des maux d’estomac, une fatigue extrĂȘme. Je parviens Ă  vivre ainsi pendant dix ans, aidĂ©e par certains mĂ©dicaments. À 27 ans, mon Ă©tat se dĂ©grade brusquement : mes cheveux se fragilisent, ma vision devient floue, je perds connaissance, ma peau pĂąlit, mes poils et mes sourcils tombent. Je ressens une forte tension dans mon sein gauche. Mon moral chute. Je tombe dans la dĂ©pression.

Mon sein devient de plus en plus asymĂ©trique. Je perds confiance en moi. Mon corps ne me plaĂźt plus. Un jour, j’aperçois une tache Ă©trange sur ce sein. Ma gynĂ©cologue me rassure, mais nous rĂ©alisons une nouvelle Ă©chographie et une mammographie. Le verdict tombe Ă  nouveau : deux grosses tumeurs Ă  retirer.

Le jour de l’opĂ©ration, Ă  mon rĂ©veil, ma gynĂ©cologue m’annonce que mon sein nous avait « menti » : il ne contenait pas deux, mais sept tumeurs. Et chacune d’elles abritait une multitude de petites tumeurs. Quelques jours plus tard, les rĂ©sultats de l'examen anatomopathologique tombent : deux des sept tumeurs Ă©taient cancĂ©reuses.

Je ne comprenais pas. J’avais moins de 50 ans. Aucun antĂ©cĂ©dent familial. Une bonne hygiĂšne de vie. Je ne cochais aucune « case ».

Suite en commentaire âŹ‡ïž

👉 www.instagram.com/rose_feminin?igsh=M3dtajR4ZmxjOHZk

#CmyNEWme #CmonNouveauMoi ✊
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đŸ”¶ Gloria (Île de France), diagnostiquĂ©e bien avant 50 ans, elle brise les idĂ©es reçues sur le cancer du sein et redonne une voix Ă  celles qu’on oublie trop souvent.
✍Je mappelle Gloria, et aujourdhui, je vais vous parler de mes seins.
Pendant longtemps, on m’a dit qu’avant 50 ans, je n’étais pas une personne Ă  risque pour le cancer du sein. Pourtant, mon histoire prouve le contraire.
Tout a commencĂ© trĂšs tĂŽt. À 14 ans, mes seins ne ressemblaient pas Ă  ceux des autres filles. Ils Ă©taient asymĂ©triques : l’un plus haut, l’autre plus bas. J’ai vĂ©cu avec cette diffĂ©rence jusqu’à mes 17 ans, lorsqu’un jour, par hasard, j’ai senti une sensation de duretĂ© dans mon sein gauche. Une Ă©chographie rĂ©vĂšle alors deux tumeurs. Je subis une intervention chirurgicale, qui se passe bien.
Peu aprĂšs, je pars vivre en Tunisie. Mais malgrĂ© tout, je ne me sens pas mieux. Je perds du poids sans raison, j’ai des maux d’estomac, une fatigue extrĂȘme. Je parviens Ă  vivre ainsi pendant dix ans, aidĂ©e par certains mĂ©dicaments. À 27 ans, mon Ă©tat se dĂ©grade brusquement : mes cheveux se fragilisent, ma vision devient floue, je perds connaissance, ma peau pĂąlit, mes poils et mes sourcils tombent. Je ressens une forte tension dans mon sein gauche. Mon moral chute. Je tombe dans la dĂ©pression.
Mon sein devient de plus en plus asymĂ©trique. Je perds confiance en moi. Mon corps ne me plaĂźt plus. Un jour, j’aperçois une tache Ă©trange sur ce sein. Ma gynĂ©cologue me rassure, mais nous rĂ©alisons une nouvelle Ă©chographie et une mammographie. Le verdict tombe Ă  nouveau : deux grosses tumeurs Ă  retirer.
Le jour de l’opĂ©ration, Ă  mon rĂ©veil, ma gynĂ©cologue m’annonce que mon sein nous avait « menti » : il ne contenait pas deux, mais sept tumeurs. Et chacune d’elles abritait une multitude de petites tumeurs. Quelques jours plus tard, les rĂ©sultats de lexamen anatomopathologique tombent : deux des sept tumeurs Ă©taient cancĂ©reuses.
Je ne comprenais pas. J’avais moins de 50 ans. Aucun antĂ©cĂ©dent familial. Une bonne hygiĂšne de vie. Je ne cochais aucune « case ».
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27/05/25

Bonjour, je cherche des bĂ©nĂ©voles pour tenir le stand de notre association jeudi Ă  Strasbourg đŸ€©
Merci đŸ©·
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27/05/25

đŸ”¶ Xavier (France). DiagnostiquĂ© Ă  un moment clĂ© de sa vie, il refuse de laisser la maladie dĂ©finir qui il est. Aujourd’hui, il partage son vĂ©cu pour briser les silences et redonner force Ă  ceux qui se sentent seuls dans l’épreuve.

✍ ForcĂ©ment, la vie bascule quand un diagnostic est posĂ© !! Je l’accepte ou je me bats ? C’est ça, la question Ă  se poser !!
Je suis malade, ok, mais ma vie – ou ce qu’il en reste – peut-elle ĂȘtre utile ??
Oui. Pour moi, pour l’acceptation et la rĂ©silience, mais surtout pour expliquer, documenter, argumenter auprĂšs de ceux qui se croient seuls...
Ce n’est pas le cas. Battez-vous.
Seul, on va vite. À plusieurs, on va loin...
Ma réflexion du jour :
Suis-je malade ou impotent ?
Je m’explique.
Malade, tu l’es, c’est un fait. Mais – car oui, il y a un mais – m’a-t-on demandĂ© ce qu’engendre le fait de ne pas travailler ?
L’isolement et le sentiment de ne plus ĂȘtre bon Ă  rien.
Cela peut ĂȘtre vrai par moments, en fonction des symptĂŽmes, mais pas tout le temps, bien au contraire.
Le fait d’interagir avec mes collùgues ou des personnes que j’aidais avant, me fait me sentir utile, et surtout : encore vivant.
Mais la loi n’est pas faite pour ça.
En maladie, tu restes Ă  la maison. Point.
On est combien dans ce cas ?
L’interaction sociale du “comme avant que je sois malade” est une vraie thĂ©rapie pour moi, et me donne envie de continuer Ă  lutter.
Attention : je sais trĂšs bien que certains ont des symptĂŽmes qui les empĂȘchent de faire ce qu’ils faisaient avant.
On n’est pas Ă©gaux face Ă  la maladie, bien sĂ»r...
Vous allez me dire : “Oui, tu peux bosser en mi-temps thĂ©rapeutique, voire en tiers-temps.”
Moi, je parle d’aller bosser quand je peux : une heure, 20 minutes, ou une demi-journĂ©e...
Quand on connaĂźt les difficultĂ©s pour un dossier sĂ©cu de mi-temps thĂ©rapeutique, on sait trĂšs bien que dire “je vais bosser 20 minutes” : c’est une utopie aujourd’hui.
Mais si ça faisait autant de bien que de prendre des corticoïdes ?
En tout cas, moralement, pour ne pas se sentir inutile par rapport Ă  avant...
Je vous laisse méditer là-dessus.
Nous sommes malades. Simplement pas inutiles.

#CmyNEWme
#CmonNouveauMoi
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đŸ”¶ Xavier (France). DiagnostiquĂ© Ă  un moment clĂ© de sa vie, il refuse de laisser la maladie dĂ©finir qui il est. Aujourd’hui, il partage son vĂ©cu pour briser les silences et redonner force Ă  ceux qui se sentent seuls dans l’épreuve.
✍ ForcĂ©ment, la vie bascule quand un diagnostic est posĂ© !! Je l’accepte ou je me bats ? C’est ça, la question Ă  se poser !!
Je suis malade, ok, mais ma vie – ou ce qu’il en reste – peut-elle ĂȘtre utile ??
Oui. Pour moi, pour l’acceptation et la rĂ©silience, mais surtout pour expliquer, documenter, argumenter auprĂšs de ceux qui se croient seuls...
Ce n’est pas le cas. Battez-vous.
Seul, on va vite. À plusieurs, on va loin...
Ma réflexion du jour :
Suis-je malade ou impotent ?
Je m’explique.
Malade, tu l’es, c’est un fait. Mais – car oui, il y a un mais – m’a-t-on demandĂ© ce qu’engendre le fait de ne pas travailler ?
L’isolement et le sentiment de ne plus ĂȘtre bon Ă  rien.
Cela peut ĂȘtre vrai par moments, en fonction des symptĂŽmes, mais pas tout le temps, bien au contraire.
Le fait d’interagir avec mes collùgues ou des personnes que j’aidais avant, me fait me sentir utile, et surtout : encore vivant.
Mais la loi n’est pas faite pour ça.
En maladie, tu restes Ă  la maison. Point.
On est combien dans ce cas ?
L’interaction sociale du “comme avant que je sois malade” est une vraie thĂ©rapie pour moi, et me donne envie de continuer Ă  lutter.
Attention : je sais trĂšs bien que certains ont des symptĂŽmes qui les empĂȘchent de faire ce qu’ils faisaient avant.
On n’est pas Ă©gaux face Ă  la maladie, bien sĂ»r...
Vous allez me dire : “Oui, tu peux bosser en mi-temps thĂ©rapeutique, voire en tiers-temps.”
Moi, je parle d’aller bosser quand je peux : une heure, 20 minutes, ou une demi-journĂ©e...
Quand on connaĂźt les difficultĂ©s pour un dossier sĂ©cu de mi-temps thĂ©rapeutique, on sait trĂšs bien que dire “je vais bosser 20 minutes” : c’est une utopie aujourd’hui.
Mais si ça faisait autant de bien que de prendre des corticoïdes ?
En tout cas, moralement, pour ne pas se sentir inutile par rapport Ă  avant...
Je vous laisse méditer là-dessus.
Nous sommes malades. Simplement pas inutiles.
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22/05/25

🔾 Pauline (Strasbourg). Elle a accompagnĂ© sa maman atteinte d’un glioblastome pendant 15 mois. Depuis, elle avance autrement, marquĂ©e Ă  jamais par ce combat.

✍ Tout a basculĂ© le jour oĂč le mot glioblastome est tombĂ©. Ce jour-lĂ , une certitude s’est imposĂ©e : il fallait vivre chaque instant, vraiment. Les petits tracas du quotidien se sont Ă©vaporĂ©s, remplacĂ©s par une urgence de prĂ©sence, d’amour, de liens solides.

Durant les 15 mois de traitement, la difficultĂ© n’était pas seulement mĂ©dicale. Elle Ă©tait Ă©motionnelle. Comment ne pas se laisser submerger ? Comment faire les bons choix entre ce que maman voulait, ce que nous ressentions, et ce que proposaient les mĂ©decins ? Il fallait tenir, avancer, se battre avec elle — mais sans tomber dans l’acharnement. Trouver ce fragile Ă©quilibre, jour aprĂšs jour.

En septembre 2021, maman nous a quittĂ©s. Et tout s’est effondrĂ©. Les liens familiaux se sont brisĂ©s, chacun portant sa douleur Ă  sa maniĂšre, comme un contrecoup immense aprĂšs des mois d’épuisement psychologique.

Et pourtant
 dans ce chaos, une vĂ©ritĂ© a Ă©mergĂ© : il fallait revoir l’essentiel. Repenser sa vie. Faire des choix du cƓur. Avancer, autrement. Plus rien ne sera jamais comme avant. Il n’y a pas de recette miracle pour continuer sans nos warriors, mais on essaie. On parle d’eux. On les fait vivre Ă  travers nous. On change. On Ă©volue. Parce qu’aprĂšs un glio
 on n’est plus les mĂȘmes.

#CmyNEWme
#CmonNouveauMoi
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🔾 Pauline (Strasbourg). Elle a accompagnĂ© sa maman atteinte d’un glioblastome pendant 15 mois. Depuis, elle avance autrement, marquĂ©e Ă  jamais par ce combat.
✍ Tout a basculĂ© le jour oĂč le mot glioblastome est tombĂ©. Ce jour-lĂ , une certitude s’est imposĂ©e : il fallait vivre chaque instant, vraiment. Les petits tracas du quotidien se sont Ă©vaporĂ©s, remplacĂ©s par une urgence de prĂ©sence, d’amour, de liens solides.
Durant les 15 mois de traitement, la difficultĂ© n’était pas seulement mĂ©dicale. Elle Ă©tait Ă©motionnelle. Comment ne pas se laisser submerger ? Comment faire les bons choix entre ce que maman voulait, ce que nous ressentions, et ce que proposaient les mĂ©decins ? Il fallait tenir, avancer, se battre avec elle — mais sans tomber dans l’acharnement. Trouver ce fragile Ă©quilibre, jour aprĂšs jour.
En septembre 2021, maman nous a quittĂ©s. Et tout s’est effondrĂ©. Les liens familiaux se sont brisĂ©s, chacun portant sa douleur Ă  sa maniĂšre, comme un contrecoup immense aprĂšs des mois d’épuisement psychologique.
Et pourtant
 dans ce chaos, une vĂ©ritĂ© a Ă©mergĂ© : il fallait revoir l’essentiel. Repenser sa vie. Faire des choix du cƓur. Avancer, autrement. Plus rien ne sera jamais comme avant. Il n’y a pas de recette miracle pour continuer sans nos warriors, mais on essaie. On parle d’eux. On les fait vivre Ă  travers nous. On change. On Ă©volue. Parce qu’aprĂšs un glio
 on n’est plus les mĂȘmes.
#CmyNEWme
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15/05/25

đŸ”¶ RDV avec Virginie (FerriĂšres-en-Brie). À 38 ans, elle dĂ©couvre qu’un cancer s’invite sans prĂ©venir. Depuis, elle avance avec force, humour et une volontĂ© farouche de ne rien laisser au hasard.

✍ Moi, c'est Virginie, 38 ans et 11 mois (c'est important vous verrez) quand le 28 aoĂ»t 2023 j'apprends que le cancan a choisi de venir frapper Ă  ma porte !
Il aurait pu m'envoyer un AR ! il n'était pas sur ma to-do-list de 2023 mais voilà pas le choix !
Le jour de mes 39 ans, je suis au bloc et je me fais poser ma PAC, merci pour le cadeau 🎁

A l'annonce c'est un torrent d'informations, une inondation de sentiments qui se mĂȘlent a l'intĂ©rieur de moi et un volcan qui rentre en Ă©ruption quand les questions viennent Ă  l'esprit et s'enchaĂźnent !
Jusqu'à ce que le médecin prenne le temps de tout m'expliquer !
A ce moment j'ai fait le choix direct d'accepter la situation et tout ce qui était liés à elle ! Pas le choix, pleurer ne changerait rien si ce n'est me rajouter un mal de crùne supplémentaire !

J'ai commencĂ© les chimios, ça Ă©tĂ© la pire pĂ©riode du traitement pour moi ! Fatigue extrĂȘme, courbatures, douleurs profondes, perte d'appĂ©tit et perte des cheveux ... Un cap dans cette bataille mais c'Ă©tait ok, on m'a averti â˜ș

J'ai choisis aussi de ne pas m'arrĂȘter, j'ai eu la chance d'avoir un patron et des collĂšgues qui ont trĂšs vite compris que l'on allaient amĂ©nager mon poste et j'ai pu gĂ©rer Ă  ma maniĂšre mes journĂ©es et mes absences !
Garder une vie social et active Ă©tait pour moi une Ă©vidence ! Ça m'aiderait Ă  passer les jours sombres et les moments de doutes, Ă  vouloir tout lĂącher !

Arrive la mastectomie partielle ! LĂ  grand choc j'Ă©tais pas prĂȘte au visuel a l'aprĂšs ! Ce sein difforme ! Ce buste a se rĂ©approprier ! Ce mot que l'on vous rĂ©pĂšte a longueur de temps : PATIENCE et oui fait ĂȘtre patient !

Avec tout ce que j'ai déjà vécu et le reste à venir, je relativise beaucoup, je profite de chaque moment, je mange mieux, je suis plus sensible aux étiquettes mais je n'ai rien profondément changé dans ma façon de vivre !

C'est une vraie étape dans une vie mais dans l'ensemble je vais bien !
J'ai la chance de répondre positivement à chaque étape !

👉 www.instagram.com/vivi.oups?igsh=bzlpbWlkdGNzbzA0

#CmyNEWme #CmonNouveauMoi ✊
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đŸ”¶ RDV avec Virginie (FerriĂšres-en-Brie). À 38 ans, elle dĂ©couvre qu’un cancer s’invite sans prĂ©venir. Depuis, elle avance avec force, humour et une volontĂ© farouche de ne rien laisser au hasard.
✍ Moi, cest Virginie, 38 ans et 11 mois (cest important vous verrez) quand le 28 aoĂ»t 2023 japprends que le cancan a choisi de venir frapper Ă  ma porte !
Il aurait pu menvoyer un AR ! il nétait pas sur ma to-do-list de 2023 mais voilà pas le choix !
Le jour de mes 39 ans, je suis au bloc et je me fais poser ma PAC, merci pour le cadeau 🎁
A lannonce cest un torrent dinformations, une inondation de sentiments qui se mĂȘlent a lintĂ©rieur de moi et un volcan qui rentre en Ă©ruption quand les questions viennent Ă  lesprit et senchaĂźnent !
Jusquà ce que le médecin prenne le temps de tout mexpliquer !
A ce moment jai fait le choix direct daccepter la situation et tout ce qui était liés à elle ! Pas le choix, pleurer ne changerait rien si ce nest me rajouter un mal de crùne supplémentaire !
Jai commencĂ© les chimios, ça Ă©tĂ© la pire pĂ©riode du traitement pour moi ! Fatigue extrĂȘme, courbatures, douleurs profondes, perte dappĂ©tit et perte des cheveux ... Un cap dans cette bataille mais cĂ©tait ok, on ma averti â˜ș
Jai choisis aussi de ne pas marrĂȘter, jai eu la chance davoir un patron et des collĂšgues qui ont trĂšs vite compris que lon allaient amĂ©nager mon poste et jai pu gĂ©rer Ă  ma maniĂšre mes journĂ©es et mes absences !
Garder une vie social et active Ă©tait pour moi une Ă©vidence ! Ça maiderait Ă  passer les jours sombres et les moments de doutes, Ă  vouloir tout lĂącher !
Arrive la mastectomie partielle ! LĂ  grand choc jĂ©tais pas prĂȘte au visuel a laprĂšs ! Ce sein difforme ! Ce buste a se rĂ©approprier ! Ce mot que lon vous rĂ©pĂšte a longueur de temps : PATIENCE et oui fait ĂȘtre patient !
Avec tout ce que jai déjà vécu et le reste à venir, je relativise beaucoup, je profite de chaque moment, je mange mieux, je suis plus sensible aux étiquettes mais je nai rien profondément changé dans ma façon de vivre !
Cest une vraie étape dans une vie mais dans lensemble je vais bien !
Jai la chance de répondre positivement à chaque étape !
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