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10/06/25

🔶 Témoignage Céline. Il y a trois ans, elle a traversé un cancer du sein. Aujourd’hui, elle aide d’autres femmes à retrouver confiance en elles, un cheveu à la fois.

Il y a 3 ans, ma vie a basculé.

Un cancer du sein, une tumorectomie, l’ablation de la chaîne ganglionnaire… et toute une tempête à traverser à 44 ans.

Mais dans cette épreuve, j’ai puisé une force immense. Une force qui venait de l’amour inconditionnel de mes enfants, de mon mari, de ma famille, et de mes amis. Leur présence, leur soutien, leur énergie ont été mes piliers quand tout semblait s’effondrer.

Comme beaucoup de femmes touchées par cette maladie, j’ai perdu mes cheveux. Et avec eux, un peu de mon identité, un peu de confiance en moi. Mais cette étape m’a aussi permis de renaître autrement.

Depuis un an, je me suis lancée dans une nouvelle aventure avec MONAT. Ce n’était pas qu’une histoire de cheveux. C’était une histoire de reconstruction, d’amour de soi, et d’envie d’aider.

Aujourd’hui, je suis experte capillaire et j’accompagne avec fierté des femmes qui, comme moi, ont connu la chute de cheveux, l’alopécie, le regard changé dans le miroir. Je les aide à prendre soin de leur cuir chevelu, à stimuler la repousse, à reprendre confiance, petit à petit.

Parce que oui, on peut retrouver sa force. Et elle est parfois là, juste au bout d’un cheveu.

#CmyNEWme #CmonNouveauMoi ✊
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🔶 Témoignage Céline. Il y a trois ans, elle a traversé un cancer du sein. Aujourd’hui, elle aide d’autres femmes à retrouver confiance en elles, un cheveu à la fois.
Il y a 3 ans, ma vie a basculé.
Un cancer du sein, une tumorectomie, l’ablation de la chaîne ganglionnaire… et toute une tempête à traverser à 44 ans.
Mais dans cette épreuve, j’ai puisé une force immense. Une force qui venait de l’amour inconditionnel de mes enfants, de mon mari, de ma famille, et de mes amis. Leur présence, leur soutien, leur énergie ont été mes piliers quand tout semblait s’effondrer.
Comme beaucoup de femmes touchées par cette maladie, j’ai perdu mes cheveux. Et avec eux, un peu de mon identité, un peu de confiance en moi. Mais cette étape m’a aussi permis de renaître autrement.
Depuis un an, je me suis lancée dans une nouvelle aventure avec MONAT. Ce n’était pas qu’une histoire de cheveux. C’était une histoire de reconstruction, d’amour de soi, et d’envie d’aider.
Aujourd’hui, je suis experte capillaire et j’accompagne avec fierté des femmes qui, comme moi, ont connu la chute de cheveux, l’alopécie, le regard changé dans le miroir. Je les aide à prendre soin de leur cuir chevelu, à stimuler la repousse, à reprendre confiance, petit à petit.
Parce que oui, on peut retrouver sa force. Et elle est parfois là, juste au bout d’un cheveu.
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03/06/25

🔶 Témoignage Fannie. Deux cancers du sein à 25 et 27 ans. Enceinte, jeune, et déterminée à rire, aimer, et vivre plus fort que jamais.

✍ J'ai eu deux cancers du sein, le premier à l'âge de 25 ans, enceinte.
Le deuxième à l'âge de 27 ans, sur l'autre sein.
Ça a été un choc évidemment, maintenant je réalise la chance que j'ai d'être en vie.
J'aimerais envoyer beaucoup de courage à ceux qui vivent cette maladie, leur montrer que l'on peut s'en sortir même s'il y a une récidive. On sort de ce combat plus forte qu'avant.
Maintenant, j'essaye de voir le côté positif des choses, ça a été ma force durant la maladie.
Je fais des stand-ups là-dessus, le rire a toujours été le meilleur des remèdes avec l'amour.
Durant la maladie, le regard des gens était compliqué ; ayant perdu mes cheveux et étant jeune, je sentais beaucoup de pitié dans leurs yeux.
J'ai subi une aplasie à un moment également, j'ai eu très peur pour ma vie.
Il faut une force mentale incroyable pour se battre. L'amour de mes proches a été un énorme carburant, ma fille aussi.
Elle est née dans une période très compliquée, j'ai eu des chimios enceinte et l'ablation du sein un mois après sa naissance.
Le secret dans ce malheur est d'avoir confiance en la vie, que si elle nous met ce genre d'obstacles, c'est qu'on peut les surmonter, nous rendant encore plus forts qu'avant !
Je reste toujours éperdument amoureuse de la vie, de l'instant présent !

👉 Instagram: cancer du sein.espoir
Instagram : FannieFann

#CmyNEWme #CmonNouveauMoi ✊
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🔶 Témoignage Fannie. Deux cancers du sein à 25 et 27 ans. Enceinte, jeune, et déterminée à rire, aimer, et vivre plus fort que jamais.
✍ Jai eu deux cancers du sein, le premier à lâge de 25 ans, enceinte.
Le deuxième à lâge de 27 ans, sur lautre sein.
Ça a été un choc évidemment, maintenant je réalise la chance que jai dêtre en vie.
Jaimerais envoyer beaucoup de courage à ceux qui vivent cette maladie, leur montrer que lon peut sen sortir même sil y a une récidive. On sort de ce combat plus forte quavant.
Maintenant, jessaye de voir le côté positif des choses, ça a été ma force durant la maladie.
Je fais des stand-ups là-dessus, le rire a toujours été le meilleur des remèdes avec lamour.
Durant la maladie, le regard des gens était compliqué ; ayant perdu mes cheveux et étant jeune, je sentais beaucoup de pitié dans leurs yeux.
Jai subi une aplasie à un moment également, jai eu très peur pour ma vie.
Il faut une force mentale incroyable pour se battre. Lamour de mes proches a été un énorme carburant, ma fille aussi.
Elle est née dans une période très compliquée, jai eu des chimios enceinte et lablation du sein un mois après sa naissance.
Le secret dans ce malheur est davoir confiance en la vie, que si elle nous met ce genre dobstacles, cest quon peut les surmonter, nous rendant encore plus forts quavant !
Je reste toujours éperdument amoureuse de la vie, de linstant présent !
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29/05/25

🔶 Gloria (Île de France), diagnostiquée bien avant 50 ans, elle brise les idées reçues sur le cancer du sein et redonne une voix à celles qu’on oublie trop souvent.

✍Je m'appelle Gloria, et aujourd'hui, je vais vous parler de mes seins.

Pendant longtemps, on m’a dit qu’avant 50 ans, je n’étais pas une personne à risque pour le cancer du sein. Pourtant, mon histoire prouve le contraire.

Tout a commencé très tôt. À 14 ans, mes seins ne ressemblaient pas à ceux des autres filles. Ils étaient asymétriques : l’un plus haut, l’autre plus bas. J’ai vécu avec cette différence jusqu’à mes 17 ans, lorsqu’un jour, par hasard, j’ai senti une sensation de dureté dans mon sein gauche. Une échographie révèle alors deux tumeurs. Je subis une intervention chirurgicale, qui se passe bien.

Peu après, je pars vivre en Tunisie. Mais malgré tout, je ne me sens pas mieux. Je perds du poids sans raison, j’ai des maux d’estomac, une fatigue extrême. Je parviens à vivre ainsi pendant dix ans, aidée par certains médicaments. À 27 ans, mon état se dégrade brusquement : mes cheveux se fragilisent, ma vision devient floue, je perds connaissance, ma peau pâlit, mes poils et mes sourcils tombent. Je ressens une forte tension dans mon sein gauche. Mon moral chute. Je tombe dans la dépression.

Mon sein devient de plus en plus asymétrique. Je perds confiance en moi. Mon corps ne me plaît plus. Un jour, j’aperçois une tache étrange sur ce sein. Ma gynécologue me rassure, mais nous réalisons une nouvelle échographie et une mammographie. Le verdict tombe à nouveau : deux grosses tumeurs à retirer.

Le jour de l’opération, à mon réveil, ma gynécologue m’annonce que mon sein nous avait « menti » : il ne contenait pas deux, mais sept tumeurs. Et chacune d’elles abritait une multitude de petites tumeurs. Quelques jours plus tard, les résultats de l'examen anatomopathologique tombent : deux des sept tumeurs étaient cancéreuses.

Je ne comprenais pas. J’avais moins de 50 ans. Aucun antécédent familial. Une bonne hygiène de vie. Je ne cochais aucune « case ».

Suite en commentaire ⬇️

👉 www.instagram.com/rose_feminin?igsh=M3dtajR4ZmxjOHZk

#CmyNEWme #CmonNouveauMoi ✊
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🔶 Gloria (Île de France), diagnostiquée bien avant 50 ans, elle brise les idées reçues sur le cancer du sein et redonne une voix à celles qu’on oublie trop souvent.
✍Je mappelle Gloria, et aujourdhui, je vais vous parler de mes seins.
Pendant longtemps, on m’a dit qu’avant 50 ans, je n’étais pas une personne à risque pour le cancer du sein. Pourtant, mon histoire prouve le contraire.
Tout a commencé très tôt. À 14 ans, mes seins ne ressemblaient pas à ceux des autres filles. Ils étaient asymétriques : l’un plus haut, l’autre plus bas. J’ai vécu avec cette différence jusqu’à mes 17 ans, lorsqu’un jour, par hasard, j’ai senti une sensation de dureté dans mon sein gauche. Une échographie révèle alors deux tumeurs. Je subis une intervention chirurgicale, qui se passe bien.
Peu après, je pars vivre en Tunisie. Mais malgré tout, je ne me sens pas mieux. Je perds du poids sans raison, j’ai des maux d’estomac, une fatigue extrême. Je parviens à vivre ainsi pendant dix ans, aidée par certains médicaments. À 27 ans, mon état se dégrade brusquement : mes cheveux se fragilisent, ma vision devient floue, je perds connaissance, ma peau pâlit, mes poils et mes sourcils tombent. Je ressens une forte tension dans mon sein gauche. Mon moral chute. Je tombe dans la dépression.
Mon sein devient de plus en plus asymétrique. Je perds confiance en moi. Mon corps ne me plaît plus. Un jour, j’aperçois une tache étrange sur ce sein. Ma gynécologue me rassure, mais nous réalisons une nouvelle échographie et une mammographie. Le verdict tombe à nouveau : deux grosses tumeurs à retirer.
Le jour de l’opération, à mon réveil, ma gynécologue m’annonce que mon sein nous avait « menti » : il ne contenait pas deux, mais sept tumeurs. Et chacune d’elles abritait une multitude de petites tumeurs. Quelques jours plus tard, les résultats de lexamen anatomopathologique tombent : deux des sept tumeurs étaient cancéreuses.
Je ne comprenais pas. J’avais moins de 50 ans. Aucun antécédent familial. Une bonne hygiène de vie. Je ne cochais aucune « case ».
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27/05/25

Bonjour, je cherche des bénévoles pour tenir le stand de notre association jeudi à Strasbourg 🤩
Merci đź©·
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27/05/25

🔶 Xavier (France). Diagnostiqué à un moment clé de sa vie, il refuse de laisser la maladie définir qui il est. Aujourd’hui, il partage son vécu pour briser les silences et redonner force à ceux qui se sentent seuls dans l’épreuve.

✍ Forcément, la vie bascule quand un diagnostic est posé !! Je l’accepte ou je me bats ? C’est ça, la question à se poser !!
Je suis malade, ok, mais ma vie – ou ce qu’il en reste – peut-elle être utile ??
Oui. Pour moi, pour l’acceptation et la résilience, mais surtout pour expliquer, documenter, argumenter auprès de ceux qui se croient seuls...
Ce n’est pas le cas. Battez-vous.
Seul, on va vite. À plusieurs, on va loin...
Ma réflexion du jour :
Suis-je malade ou impotent ?
Je m’explique.
Malade, tu l’es, c’est un fait. Mais – car oui, il y a un mais – m’a-t-on demandé ce qu’engendre le fait de ne pas travailler ?
L’isolement et le sentiment de ne plus être bon à rien.
Cela peut ĂŞtre vrai par moments, en fonction des symptĂ´mes, mais pas tout le temps, bien au contraire.
Le fait d’interagir avec mes collègues ou des personnes que j’aidais avant, me fait me sentir utile, et surtout : encore vivant.
Mais la loi n’est pas faite pour ça.
En maladie, tu restes Ă  la maison. Point.
On est combien dans ce cas ?
L’interaction sociale du “comme avant que je sois malade” est une vraie thérapie pour moi, et me donne envie de continuer à lutter.
Attention : je sais très bien que certains ont des symptômes qui les empêchent de faire ce qu’ils faisaient avant.
On n’est pas égaux face à la maladie, bien sûr...
Vous allez me dire : “Oui, tu peux bosser en mi-temps thérapeutique, voire en tiers-temps.”
Moi, je parle d’aller bosser quand je peux : une heure, 20 minutes, ou une demi-journée...
Quand on connaît les difficultés pour un dossier sécu de mi-temps thérapeutique, on sait très bien que dire “je vais bosser 20 minutes” : c’est une utopie aujourd’hui.
Mais si ça faisait autant de bien que de prendre des corticoïdes ?
En tout cas, moralement, pour ne pas se sentir inutile par rapport Ă  avant...
Je vous laisse méditer là-dessus.
Nous sommes malades. Simplement pas inutiles.

#CmyNEWme
#CmonNouveauMoi
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🔶 Xavier (France). Diagnostiqué à un moment clé de sa vie, il refuse de laisser la maladie définir qui il est. Aujourd’hui, il partage son vécu pour briser les silences et redonner force à ceux qui se sentent seuls dans l’épreuve.
✍ Forcément, la vie bascule quand un diagnostic est posé !! Je l’accepte ou je me bats ? C’est ça, la question à se poser !!
Je suis malade, ok, mais ma vie – ou ce qu’il en reste – peut-elle être utile ??
Oui. Pour moi, pour l’acceptation et la résilience, mais surtout pour expliquer, documenter, argumenter auprès de ceux qui se croient seuls...
Ce n’est pas le cas. Battez-vous.
Seul, on va vite. À plusieurs, on va loin...
Ma réflexion du jour :
Suis-je malade ou impotent ?
Je m’explique.
Malade, tu l’es, c’est un fait. Mais – car oui, il y a un mais – m’a-t-on demandé ce qu’engendre le fait de ne pas travailler ?
L’isolement et le sentiment de ne plus être bon à rien.
Cela peut ĂŞtre vrai par moments, en fonction des symptĂ´mes, mais pas tout le temps, bien au contraire.
Le fait d’interagir avec mes collègues ou des personnes que j’aidais avant, me fait me sentir utile, et surtout : encore vivant.
Mais la loi n’est pas faite pour ça.
En maladie, tu restes Ă  la maison. Point.
On est combien dans ce cas ?
L’interaction sociale du “comme avant que je sois malade” est une vraie thérapie pour moi, et me donne envie de continuer à lutter.
Attention : je sais très bien que certains ont des symptômes qui les empêchent de faire ce qu’ils faisaient avant.
On n’est pas égaux face à la maladie, bien sûr...
Vous allez me dire : “Oui, tu peux bosser en mi-temps thérapeutique, voire en tiers-temps.”
Moi, je parle d’aller bosser quand je peux : une heure, 20 minutes, ou une demi-journée...
Quand on connaît les difficultés pour un dossier sécu de mi-temps thérapeutique, on sait très bien que dire “je vais bosser 20 minutes” : c’est une utopie aujourd’hui.
Mais si ça faisait autant de bien que de prendre des corticoïdes ?
En tout cas, moralement, pour ne pas se sentir inutile par rapport Ă  avant...
Je vous laisse méditer là-dessus.
Nous sommes malades. Simplement pas inutiles.
#CmyNEWme
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